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vendredi 22 février 2008

L'avis du visiteur de l'hôtel ZITA (Zarzis en Tunisie)

Le monde est un livre dont chaque pas nous ouvre une page . Ce article donne à lire notre avis sur l' Hôtel Zita de Zarzis, un des plus anciens établissements du cru, construit jadis en pleine oasis, à deux pas de Djerba et du Sahara tunisien... Et, surtout, depuis le printemps 2006, immense complexe hôtelier complètement et intelligemment rénové.

LE DEPART

Excellente organisation du Zita pour ce qui est des départs. Si la chambre se doit d' être assez classiquement libérée pour midi (ce sont des clés électroniques, donc difficile de prolonger...), on vous prête , avant votre départ,au retour de la plage ou de la piscine, une des trois chambres ad hoc ou les voyageurs peuvent prendre une douche, se remaquiller etc... avant de patienter à nouveau dans le grand hall et d'embarquer pour l'aéroport.Les valises sont,elles, gardées sous clé dans le local "départs" mais vous pourrez aisément y récupérer vêtements et trousses nécessaires...( Notre cotation : 5 triangles.)




L'immense hall central de l'hôtel possède son local pour organisateurs d'excursions et tours-operators, qui vendront aux oisifs migrateurs toutes les excursions classiques des environs.Le "souk" de Zarzis se tient le lundi et surtout( bien plus d'échoppes où l'on vend quelques " faux" aux touristes amateurs d' Energie ,D&G, de Diesel ou d'Armani...) le vendredi jusqu'à 12h30.Ne vous attendez pas à des souks très achalandés : cela tient ici souvent du marché aux puces sur terre battue. Et les échoppes sont plutôt rudimentaires... (3 dinars maxi par trajet en taxi ) Les hommes naissent libres et égaux en droit, mais après qu'ils se débrouillent... De l’avis des observateurs , la Tunisie a fait des progrès dans la redistribution des ressources nationales au bénéfice des pauvres. La Banque mondiale s’intéressait dans son dernier rapport sur la Tunisie à la situation des personnes dont les revenus se situent juste au-dessus du seuil minimal de pauvreté et qui vivent dans « des conditions économiquement vulnérables ». Ces « pauvres » représentent 6 % de la population totale, contre 8 % en 1990. En y ajoutant la catégorie des « très pauvres », on obtient le taux global de 10 % de la population, soit 1 million de personnes (contre 16 % et 1,3 million, en 1990).

ZITA PANORAMA


De jolis bâtiments dispersés dans le domaine... (évitez ceux, plus bruyants, situés près de la piscine)

OU IL Y A DE L'HYGIENE, Y'A DU PLAISIR ?

Ce n'est qu'un détail pour d'aucuns, mais çà compte : les toilettes modernes et propres, un peu partout, dans le Zita... (Notre cotation pour l'hygiène générale au Zita , y compris aux cuisines : 4 triangles) Un bémol : les poubelles rarement vidées et qui débordent souvent de détritus à la plage. Or, on sait que tout homme portant un caleçon de bain et se disposant à pénétrer dans une étendue d'eau salée laisse en tas sur la plage un nombre d'objet égal et proportionné à la catégorie sociale à laquelle il appartient.

ZITA PANORAMA

L'esplanade face à la scène des spectacles. (Dommage pour le design,que ces chaises en plastique !).Le royaume des commis comiques et des amuseurs de galerie d'évidence pleins de bonne volonté.Ici, les teufeurs ne vont pas pioncer à onze heures du matin... Programme hebdomadaire immuable affiché à la sortie du restaurant : à chaque jour de la semaine son spectacle . A 20 heures, mini-disco et, chaque soir, à 21 heures un show ... (Fakir, folklore tunisien, etc...)Les petits et grands enfants trouvent çà " ach'ment super", donc notre cotation est de 4 triangles.

ZITA PANORAMA (2)

De la piscine vers la plage (avec un bar, peu fréquenté). Pour mémoire,selon Pierre DAC, la créationdes plages remonte aux temps très anciens où, pour revendiquer ses droits maritimes, la mer faisait la grève sur un tas de sable.

PAS POUR LES NET-ADDICTS

Tout nouvel hôtel, de nos jours, se doit de disposer d'un accès internet pour permettre à sa clientèle d'éviter les cartes postales et d'hotmailer,googler à l'envi... Las,le Zita a juste placé deux PC Dell dans le recoin d'une salle de réunion généralement plongée dans le noir . (ne cherchez pas l'interrupteur, le commutateur est dans une armoire électrique sur le mur du fond).La procédure est assez bureaucratique : c'est la réception qui délivre à chaque fois, pour 5 dinars, un petit coupon de papier portant un numéro d'accès valable une heure . Conséquence : tout cyber-addict achève évidemment son crédit. conséquence : les candidats à l'accès sont nombreux mais les places derrière l'écran sont rares.De plus, le Eita ignore apparement l'existence des anti-virus. Donc, pendant notre séjour, l'un des deux PC était totalement out malgré les tentatives de nombreux touristes peu ou prou informaticiens...Un espoir pour propriétaires de portables ( nous n'avons pu tester) : la connexion avec les Dell est Wi-Fi.

PIZZAIOLO

L'après-midi, dès 15 h 30, le restaurant paillotté connexe à la piscine offre , en self-service of course, une série de plats chauds , de sandwiches, de pâtisseries, etc... le tout assorti de thé (ruée sur les sachets Lipton's, plus théiné que les bags tunisiens ) et de café bof. Mais l'événement attendu, c'est celui des plateaux de pizza fraîches aux légumes, réellement délicieuses ! (Notre cotation :4 triangles).Un bémol : l'autre paillotte voisine délivre, elle, de grandes crêpesqui, elles, sont payantes (4 dinars) sans que rien ne l'affiche.Un perpétuel sujet à quiproquos (vous connaissez des gosses qui n'aiment pas les crêpes ?) dans un "all in" .

LES RESTAURANTS

Au Zita, on peut se restaurer soit dans l'immense salle -climatisée- du restaurant " La Coupole" (là aussi, une réussite pour ce qui est de la deco : malgré la grandeur des lieux, on est loin du mess d'officiers ou, comme chacun sait, le menu militari est de rigueur...) soit dans les restaurants extérieurs. Vous réussirez toujours à vous emparer d'une table, généralement déjà utilisée par des vacanciers précédents... Le personnel, qu'il faut souvent aller tirer par la manche, vous dresse illico une nouvelle table et prend note de vos commandes désaltérantes (les bouteilles d'eau, plate ou gazeuse, en flacon de verre défilent par centaines au Zita...) Il ne vous reste alors, l'assiette en main, à faire la file le longs des buffets (trois identiques en fait : deux dans la salle, l'un -moins encombré- à l'extérieur ). C'est à l'extérieur aussi que vous trouverez le barbecue (nouvelle file) pour décrocher poisson, légumes , viande grillée ou pieds de majorettes aux oeufs dur...(mééé non ! ) Les vins de bonne qualité (blancs, rouges et rosé-le meilleur-) sont servis en demi bouteille ouverte devant vous. La bière et les limonades se servent à des distributeurs .(soyons clairs : le cola, c'est beurk ). Si les pâtes trop cuites font parfois protester l'importante clientèle italienne,les buffets, sans toucher au génie, offrent une nourriture suffisamment variée pour que chacun puisse y trouver son bonheur entre les délicieuses tomates mûres et les roses pastèques fondantes...Las, le grain de couscous, bien qu'on soit en Tunisie,n'est présent que le seul vendredi soir, lors d'un récurrent "buffet berbère"./ Le très vaste resto du Zita n'est évidemment pas l'endroit idéal pour un tête à tête, de par les bruits de fourchettes et les joyeux claquements de mandibules de centaines d'affamés... ( mais on le répète, on n'est pas du tout oppressé par la foule tant les lieux sont immenses...) Notre cotation : 4 triangles pour les desserts : pâtisserries et, surtout, les glaces vespérales - self-servies dans des coupes d'acier retro- qui déclenchent une longue file gustative.

SHOPPING INTRA-MUROS

Le complexe du Zita intègre sa petite galerie marchande :l'échoppe de produits de première nécessité (produits solaires, de toilette, biscuits,jouets,cartes postales avec timbres, nombreux journaux et magazines francophones...); le magasin d'artisanat tunisien (chichas, robes, sacs,etc...) (ici, contrairement à l'extérieur de l'hôtel, le patron ne marchande guère ses prix d'hôtel ) ; le magasin de baskets ...A la sortie du domaine, donc après une petite marche, on retrouve de nombreuses boutiques d'artisanat et de produits locaux plus ou moins intéressantes. Le hic, c'est qu'on s'y fait évidemment vite harceler plus ou moins adroitement à coups de "gazelle" et de "gazous" assez balourds ...Conséquence dommageable : alors que partir, c'est rompre avec ses repères, nombreux sont les touristes à ne même pas quitter les frontières du Zita de toute leur période annuelle de décervellisation.

INDICE 40

Pour l'été, le Visiteur, faute de femme ombrageuse, s'en remet aux lotions qui vous garantissent un teint de jeune femme chlorotique par temps de neige...Bon, faites gaffe aux rayons de Phoebus, souvent brûlants.

EUH DE PING ET DE PONG

Curieux : alors que l'hôtel Zita rebondit vers la modernité, les quatre tables de ping-pong disséminées autour de la piscine sont, pour la plupart, déjà déglinguées... Quant aux raquetes (5 à 10 dinars de caution), certaines doivent faire partie du patrimoine historique de l'ancien Zita...(Notre cotation : 2 triangles pour ce ping trop peu pong...)

UN JOUR, ON CESSE DE NAGER ET L'OCEAN SE VIDE

Peu de colporteurs sur la plage du Zita , éminemment surveillée. Les vendeurs de tours en calèche et autres visites plus ou moins harassantes de la région ont dès lors une tactique aquatique: ils pataugent ou crawlent en rond dans la mer jusqu'à proposer entre deux vagues aux clients-nageurs leur catalogue verbal d'excursions... Certes, il y a des algues mais la Méditerranée est chaude et le sable très propre...) (Notre cotation : 4 triangles)

FAUTEUILS D'ORCHESTRE A LA PLAGE

La plage du Zita, très longue, est assortie de parasols-paillottes, situés le long des bâtiments de l'hôtel de jadis( A moins de 20 mètres des vagues . Leur reconstruction serait aujourd´hui impossible selon les lois tunisiennes qui ont porté la limite à 45 m). Ce qui est très chouette, c'est qu'on peut louer et réserver un fauteuil de plage à la semaine (toujours le même) pour 15 dinars/ semaine . Vous vous rendez pour ce faire à la réception où vous recevez un petit reçu vous donnant droit à un merveilleux transat plastique blanc (qui accueillera ultérieurement des matelas confortables que vous irez d'ailleurs chercher par vous-même chaque matin pour simplifier les choses...). Muni dudit bon, le préposé de la plage vous accompagnera jusqu'au grains de sable choisis. Se déroulera alors une scène de bricolage de haut vol : muni d'un mini-rouleau de papier-collant de qualité médiocre, le gentil préposé s'évertuera de coller le dit minuscule reçu ,aux dates de location plus ou moins lisibles, sur le haut du transat.Conséquences de ce systême confortable mais pour le moins imparfait : vous retrouverez inévitablement, un matin, vos fauteuils déjà squattés par des touristes neo-arrivés à la mine de papier bouilli et ignorant tout des usages plagistes et commerciaux très discrets du Zita. Si par malheur votre mini-ticket se détache (scotch et sable font mauvais ménage) ou que votre fauteuil a été emprunté au loin par un distrait,il vous faudra alors affronter une administration d'une rapidité neo-stalinienne à la réception du Zita (" Veuillez patienter dans un fauteuil..." ) ( le temps qu'un préposé conandoylesque s'en aille indaguer sur le sable )) avant de recevoir un duplicata que vous collerez cette fois soigneusement vous-même.(bon, il y a des choses plus douloureuses que çà...) Attention : si vous ne louez votre fauteuil que le lendemain de votre arrivée, veillez bien à ce que ce soit la date du jour, sinon vous vous retrouverez sur le sable le dernier jour de votre séjour...(Notre cotation : 4 triangles)

SERVIETTES DE PLAGE A DEMEURE

Pas de vraie bataille de transats (phénomène guerrier vacancier éminemment courant) autour des piscines du Zita.Pas besoin de se lever dès potron minet en chantonnant du Jacques Dutronc ("Il est 5 heures, Zita s'éveeeeiiiillle...") pour s'emparer hardiment de l'un ou l'autre fauteuil . Tout d'abord, parce qu'ils sont présents en grand nombre (encore que tous occupés, en août, aux heures de pointe) . Mais surtout parce qu'il est toléré d'y laisser son essuie de plage Ferrari, Barbie ou Plocounet (selon les goûts) jour et nuit ! Bref, le soir venu, vous emballez bien le transat dudit tissu éponge et vous vous retrouverez ainsi scotché bronzé à la même place tout au long de votre séjour... ( n'utilisez pas les essuies couleur camel de l'hôtel, impitoyablement virés des lieux )

J'AIME TOUT MIEUX QUE LA TRANQUILLITE : LES PISCINES


Il y a deux grandes piscines au Zita,avec ilôts de palmiers et toutes les profondeurs voulues, pour petits et grands. C'est un environnement généralement peu ou prou bruyant,(calme avant 10h30 et en fin d'après-midi) entouré du " Moon Bar ", du local "animation ", du mini-club (un peu à l'écart) des restaurants en plein air, de la scène pour gym-tonic et autres spectacles du soir.

PISCINE OU PLAGE ? BRUIT OU SILENCE


Il y a clairement deux ambiances au Zita. Si le Zita ne se proclame qu'" hôtel animé ", il a cependant tout d'un club pour ce qui est des hauts-parleurs qui, à certaines heures, vociférent les animations (en italien et français surtout, anglais et allemand accessoirement) et une musique house qui peut déclencher des orgasmes entre les oreilles. Si "çà déchire" comme le prétendait gaiement la progéniture du Visiteur, celui-ci a immédiatement opté pour l'immense plage de sable d'un calme enchanteur... Bref, deux ambiances très différentes à peu de distance ce qui permet finalement à chacun de goûter à son bonheur, fut ce au prix de multiples allées et venues... (les distances sont grandes au Zita)(pourvu qu'une direction ne connecte jamais les hauts-parleurs de plage, théoriquement présents mais élégamment muets)

ART HOTELIER

Excellent service de chambre, essuies renouvelés chaque jour, vrai nettoyage et, de temps à autre,selon les nouvelles traditions hôtelières, une charmante fantaisie de literie...( notre cotation : 4 triangles)

POUR ETRE HEUREUX,IL FAUT AVANT TOUT BEAUCOUP DORMIR

Réparties dans de nombreux bâtiments - une grande réussite architecturale - les chambres du Zita ne souffrent guère de critiques,tant pour les chambres classiques que pour celles dites familiales. Entendez , dans ce dernier cas, une chambre -salon (avec télé ) conjointe -sans séparation- au hall- couloir sur lequel s'ouvrent une salle de bain (sans séchoir vroumant...) et un WC séparé + une chambre pour deux (sans télé, celle là...) totalement séparée par une porte donnant sur le hall...Le tout très joliment décoré.( Des colonnes mauresques notamment ).Deux mini-bémols : 1) sans doute eut-on pu imaginer deux chambres chacune dotée d'une porte 2) l'absence de frigidaire alors que l'emplacement ad hoc a bien et bien été prévu par les architectes de talent du Zita...Par contre,une climatisation top-moderne, totalement discrète,réglable par chambre ! (attention :çà ne fonctionne plus si la porte-fenête, qui donne sur une petite terrasse, n'est pas parfaitement close...)Insonorisation satisfaisante et la télé par satellite capte TF1,France 2, France 3, M6, Arte, TV5 et Euronews francophone !( notre cotation : 4,5 triangles) (presque parfait mais l'absence de mini-frigo quand çà cagnarde est vraiment curieuse)

LA VIE PRIVEE N'EST QUE LA VIE COLLECTIVE A DOSE HOMEOPATHIQUE

C'est clair : le nouvel hôtel Zita est un TRRRRES GRAND complexe, à haute capacité d'usine hôtelière...Le miracle (qui se font, de nos jours, de plus en plus rares) c'est que l'espace (17 hectares ou dans ces eaux là...) fait que l'on ne s'y sent jamais étouffé, ni encombré...(hormis peut-être à l'heure de pointe dans la tout aussi immense salle à manger, véritable sosie du hall...)

LA RECEPTION


Si le personnel y est généralement très aimable, c'est l'un des points faibles du nouvel hôtel Zita. Un touriste des anciens pays de l'Est (ils sont d'ailleurs peu nombreux au Zita) risque de n'y être pas dépaysé. Une formule, aimable mais rituelle, à la moindre demande, est " Asseyez-vous donc dans un fauteuil en attendant..." Pour chaque démarche (un ticket trop matinal pour l'accès à l'internet, un fauteuil de plage qui pose problème...), la décision doit suivre une filière administrative d'évidence aussi obligatoire que mystérieuse...(il n'y a pas de coffre-fort dans les chambres, c'est là qu'on peut en louer pour 15 dinars semaine si on est vraiment très très angoissé... C'est là aussi qu'on loue, à la semaine, les fauteuils de plage ) ( notre cotation : 2,5 triangles)

WOAW, CA C'EST DU HALL



Woaw ! C'est qu'il en jette, le hall du Zita...Immense, impressionnant, chaleureux et fort réussi architecturalement... (le soir, ce hall est d'ailleurs plein de vie )Un peu soufflé par ce côté mini Las Vegas tunisien, on vous installe (Le Visiteur a dû attendre une heure, la chambre n'étant point prête, ce qui est un chouia agaçant après une longue journée de transports...) dans un coin-salon où l' on vous sert illico un jus de fruit hélas plutôt indéterminé... ( notre cotation : 4 triangles)
L'ACCES AU ZITA

L'immense perron de l'hôtel sera sans doute désert à votre arrivée , mais pas très longtemps. Vos bagages (avec vos tongs) disparaîtront vite fait. (emportés dans deux locaux proches; collectant l'un les "valises arrivée", l'autre les "valises départ"), le tout assez bien surveillé...Et d'immenses portes en verre martelé vont vous faire découvrir un des plus vastes halls d'hôtel que le Visiteur (qui a beaucoup voyagé) ait pu découvrir...(notre cotation : 5 triangles)


Du tout nouvel aérogare de Djerba, en taxi,tablez sur une bonne heure de transfert selon la vélocité et la modernité du véhicule.Vous empruntez l'ancienne chaussée romaine qui relie Djerba l'animée au continent et vous vous retrouvez,après avoir salué les oliviers, à Zarzis, bien plus paisible que Djerba...L'entrée de l'hôtel , évidemment cernée de magasins pour touristes évadés du domaine, donne sur la route et est soigneusement gardée .La plupart des taxis n'ont même curieusement pas, en temps ordinaire, le droit de franchir la grande grille douanière, vous obligeant à parcourir à pied la très longue allée qui mène à l'entrée de l'hôtel et à la réception...C'est clair : tant par la route que par la plage, on n'entre pas au ZITA comme dans un moulin (à huile d'olive ) ... (notre cotation : 5 triangles)


COUPS DE COEUR ET RANCOEURS, MODE D'EMPLOI


Faire un choix dans la jungle des catalogues des voyagistes et des tours-operators peut tenir de la loterie...Surtout lorsque l'hôtel est quasi neuf ( printemps 2006) avec tout ce que cela peut parfois réserver comme surprises...Et que les forums internet sont encore peu loquaces... Le Visiteur s'étant rendu cette fois (août 2006) à Zarzis, il fait part ici,évidemment en toute indépendance, de ses impressions sur l'hôtel Zita rénové : coups de coeur, petits désagréments, bons et mauvais points. Et ce en prenant pour unité de valeur le Triangle, un élément graphique qu'on retrouve partout dans cet hôtel symbolique de l'histoire de l' hôtellerie tunisienne... Qui, s'il n'est d'évidence pas un hôtel de charme, vu sa taille touristique, n'en dégage pas moins de charmants aspects... On donne donc ici notre avis sur une échelle de 0 à 5 triangles : cinq triangles quand c'est nickel, un triangle quand c'est décevant. Capito ? comme diraient nos amis italiens, grands férus déjà du Zita... (ce sont les paroles de " La Marche des Tongs", de l'excellent film " Camping" qui tiennent lieu de fil conducteur aux posts de ce blog...)



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